L’Ouganda a confirmé que des comptes de la banque centrale du pays avaient été piratés après des rapports affirmant que des millions de dollars avaient été volés lors de ce cybercrime. Kampala, cependant, a minimisé les affirmations selon lesquelles les hackers offshore auraient emporté jusqu’à 17 millions de dollars. La semaine dernière, des rapports ont émergé selon lesquels un groupe de hackers nommé « Waste » aurait accédé aux systèmes informatiques de la Banque de l’Ouganda et transféré 62 milliards de shillings ougandais. Cela a poussé le gouvernement à ordonner une enquête. Des rapports suggèrent également qu’il est possible que cet acte ait été un « coup interne ». Les vols cybernétiques provenant de banques et autres fournisseurs de services financiers, y compris les entreprises de télécommunications, ont eu lieu plusieurs fois en Ouganda. Mais alors que l’enquête est toujours en cours, plusieurs questions se posent. Était-ce un coup interne ? Comment l’Ouganda récupérera-t-il l’argent perdu ? Regardez la vidéo pour en savoir plus.
Le spectre des cyberattaques continue de planer sur les institutions financières en Ouganda. Le dernier incident en date concerne la Banque de l’Ouganda, où des hackers ont réussi à siphonner pas moins de 17 millions de dollars, déclenchant une enquête gouvernementale de grande envergure.
Selon des sources proches de l’affaire, le groupe de hackers connu sous le nom de « Waste » aurait infiltré les systèmes informatiques de la Banque, transférant de manière illicite 62 milliards de shillings ougandais vers des comptes offshore. Bien que le gouvernement ait tenté de minimiser les montants rapportés, l’ampleur de l’attaque reste préoccupante.
Les autorités ont immédiatement ordonné une enquête approfondie pour déterminer les failles dans le système et identifier les coupables. Les premiers indices laissent entrevoir la possibilité d’une complicité interne, ajoutant une couche supplémentaire de complexité à cette affaire déjà épineuse. « Nous ne pouvons exclure aucune hypothèse à ce stade. Toutes les pistes sont explorées, » a déclaré un porte-parole du gouvernement.
Ces événements mettent en lumière une série de failles de sécurité persistantes dans les infrastructures bancaires et télécoms du pays, qui ont été ciblées à plusieurs reprises par des cybercriminels. Les experts en sécurité informatique alertent sur la nécessité d’améliorer les défenses numériques pour prévenir de futures attaques.
Alors que les investigations continuent, les questions restent nombreuses : Comment les hackers ont-ils pu accéder aux systèmes internes de la Banque ? Qui sont les véritables cerveaux derrière ce vol audacieux ? Et surtout, comment l’Ouganda pourra-t-il récupérer les fonds détournés ? Autant de questions qui demeurent sans réponse pour le moment, plongeant le pays dans une incertitude financière alarmante.
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